Les réseaux sociaux sur Internet à l’heure des transitions démocratiques

Les réseaux sociaux sur Internet à l’heure des transitions démocratiques


Les réseaux sociaux sur Internet à l'heure des transitions démocratiques, sous la direction de Sihem Najar

Collectif

En vente à l’IRMC
Consultable à la bibliothèque de l’IRMC
En vente sur karthala.fr

Coédition IRMC-Karthala | 2013, coll. « Hommes et sociétés » | 10 DT / 30 €

Sous la direction de | Sihem Najar, professeure à l’Institut de Presse et des Sciences de l’Information de l’Université de La Manouba.
Ont contribué | May Abdallah, Fadi Ahmar, Nashwan M. Al-Sumairi, Caroline Ange, Chirine Ben Abdallah, Maryam Ben Salem, Belgin Bilge, Dominique Boullier, Bertrand Cabedoche, Florencio Ceballos, Christiana Constantopoulou, Julien Denieuil, Massimo Di Felice, Michel Durampart, Catherine Ghosn, Saadeddine Igamane, Annabelle Klein, Mohamed Anouar Lahouij, Romain Lecomte, Valentina Marinescu, Racha Mezrioui, Sihem Najar, Serge Proulx, Javier Sajuria, Marta Severo, Ángela Suarez Collado et Moez Triki.


À propos

Résumé | Les pays en quête de démocratie ont traversé de grands bouleversements. C’est ce dont témoignent les mouvements sociaux sur Internet, acteur incontournable des soulèvements populaires. Leurs contours, les lieux où ils évoluent ainsi que les volontés qui s’y expriment constituent un terrain d’investigation fondamental. En effet, les enjeux qui leur sont associés pèsent sur le quotidien de sociétés en pleine mutation.

Ainsi, le présent ouvrage ambitionne d’explorer ces enjeux. Pour ce faire, les contributions sont issues d’expériences sociales, culturelles et académiques différentes. L’objectif est de faire apparaître aussi bien les incertitudes et les impasses que les espoirs qui accompagnent les « processus de transition démocratique » que traversent ces sociétés du Moyen-Orient à l’Europe de l’Est et du Maghreb à l’Amérique latine, au prisme de ces nouveaux acteurs du net.

Enfin, l’étude des mouvements sociaux en ligne s’impose à tout le champ des sciences sociales. De fait, il a le mérite d’agiter des questions plus ou moins classiques en les revisitant à partir d’une nouvelle « historicité ». Il en est ainsi de la démocratie, la perception de l’événement historique, des frontières des territoires individuel et collectif, du temps social ou encore des institutions politiques traditionnelles.